Avec une belle dynamique ces dernières années, la maroquinerie française de luxe continue de s’inscrire dans l’héritage d’un savoir-faire séculaire. Il suffit de se promener sur une des plus belles avenues du monde à Paris pour mesurer l’ampleur du luxe. Avec un marché de plusieurs milliards d’euros, c’est une clientèle en majorité internationale qui raffole de cette maroquinerie haut de gamme.
Le luxe à la française

Avec sûrement le secteur le plus porteur du luxe la maroquinerie, ce sont en France de nombreux ateliers où des petites mains travaillent sur des créations issues d’un savoir-faire souvent ancien. C’est le cas de la marque de maroquinerie française Masha Keja qui a mis dans certaines de ses créations une technique très ancienne datant du XVIe siècle, la cannetille. Cette broderie réalisée à la main apporte à ses sacs et petite maroquinerie une finesse et une élégance si française. Le marché du luxe permet à de nombreux artisans d’avoir pignon sur rue. D’autres sont employés dans les ateliers de ces grandes maisons. Quoi qu’il en soit, cette industrie qui représente plusieurs milliards d’euros a encore de beaux jours devant elle. Avec de nouvelles marques, l’arrivée de styles audacieux et ambitieux, la maroquinerie française continuera de perpétuer un savoir-faire si courtisé.
L’héritage d’un savoir-faire
C’est bien entendu cet héritage d’un savoir-faire séculaire, de matériaux nobles, d’une créativité désireuse et talentueuse qui nourrissent aujourd’hui encore la maroquinerie française. Même si les grandes maisons de la haute couture dominent le marché, d’autres se font un nom et une place parmi ces mastodontes de la mode. Le made in France est reconnu dans le monde entier pour être un gage de qualité. Cette maroquinerie artisanale et ces petites mains sont d’autant précieuses qu’elles perpétuent des gestes si anciens. Le luxe et le haut de gamme permettent ainsi de transmettre aux générations futures cet héritage séculaire.